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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 04:31
La deuxième partie du sondage Léger Marketing que Le Journal de Québec publie en ce 18 mars 2008 est moins exhaustif que la première partie publiée hier. Voici ce que Le Journal titre:

Paresse et colère en tête
Près de la moitié des catholiques disent avoir déjà commis tous les péchés capitaux définis par l'Église catholique, à part l'avarice, révèle notre sondage.

La colère et la paresse ont été commises par plus de la moitié des répondants, alors que seulement une personne sur quatre avoue avoir été avare au moins une fois dans sa vie.

Ce portrait n'exagère pas la réalité, selon Christian Bourque, vice-président de la recherche chez Léger Marketing. "Les gens essaient de projeter une image positive d'eux-mêmes. Mais dans les faits, qui n'a jamais commis le péché de la colère ou de la luxure?" dit-il.

La popularité des péchés n'étonne pas non plus les spécialistes interrogés par Le Journal, "Aujourd'hui, on pense que chacun peut faire ce qu'il veut, tant que les autres n'en souffrent pas", explique Louis Rousseau, professeur de sciences des religions à l'UQUAM.

Les sept péchés capitaux selon les statistiques:

LA COLÈRE:
Le péché de la colère, vu comme une courte folie par les Anciens, eut entraîner des actes regrettables. 68% l'ont commis et 42% disent que ce n'est pas grave.

LA PARESSE: Le péché de la paresse est défini comme le refus d'accomplir des tâches nécessaires. 55% l'ont commis et 64% disent que ce n'est pas grave.

LA GOURMANDISE: La gourmandise implique la démesure dans l'appréciation de la nourriture. 49% l'ont commis et 75% disent que ce n'est pas grave.

LA LUXURE: Le péché de la luxure est décrit comme le plaisir sexuel recherché pour soi-même de façon immédiate. 49% l'ont commis et 59% disent que ce n'est pas grave.

L'ORGUEUIL: Lorgueil est l'attribution à ses propres mérites de qualités vues comme des dons de Dieu, tel que l'intelligence. 48% l'ont commis et 65% disent que ce n'est pas grave.

L'ENVIE: L'envie est le refus de se réjouir du bonheur d'autrui et la satisfaction de son malheur. 46% l'ont commis et 55% disent que ce n'est pas grave.

L'AVARICE: L'avarice est le désir de posséder ou de conserver plus de richesses que ce qui est nécessaire. 27% l'ont commis et 43% disent que ce n'est pas grave.

Dans la reconnaissance de nouveaux péchés, où devrait se situer celui du "ce n'est pas grave?"
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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 05:02
Les chiffres parlent par l'inédit n'est pas exprimé. Le thème des articles parus dans Le Journal de Québec de ce 17 mars porte sur "Des valeurs qui se perdent." L'une de ces valeurs est la rectitude ou la logique continue de la pensée et des convictions profondes. Le chroniqueur Richard Martineau écrit: "Les gens disent une chose et son  contraire dans la même phrase. (...) On veut rayonner à travers le monde mais on déteste les ambitieux."

Sans point de repère, les gens se forgent de nouveaux temples plus personnalisés tels que l'ésotérisme, la croissance personnelle, le travail et la consommation, les mouvements évangéliques et charismatiques, l'excès dans les comportements compulsifs et le repli sur la famille. Sommes-nous revenus à de nouvelles formes du veau d'or de l'ancien testament?

En discutant avec des amis de ce reportage, il faut convenir que nous avons un discours politique et culturel assez développé. La religion a eu son rôle dominant dans la formation de ces discours. Mais l'essence de l'Église est fondamentalement la pastorale. Qu'en savons-nous? 

Des gens de bonne foi me disent qu'ils n'en savent pas grand chose. Est-ce limité aux théologiens et aux pasteurs? Je crois qu'elle est là la mission première. L'enfant qui s'endort dans les bras de sa mère pendant que nous lui conférons le baptême est pour moi un premier discours sur ce qu'est la foi. Pouvons-nous nous endormir dans les bras de Dieu comme cet enfant dans les bras de sa mère? C'est une expérience de foi à vivre que les pasteurs ont à annoncer et les théologiens à expliquer. Il ne s'agit pas toujours de chercher mais aussi de s'asseoir pour apprécier et contempler. Il est difficile de se faire témoin de l'espérance quand on ne sait pas reconnaître sa pauvreté spirituelle. La richesse culturelle de l'Église et son influence historique en politique peuvent encadrer l'expérience de la foi d'aujourd'hui. On peut renouveler le cadre au souffle de l'esprit Saint. Il me semble que c'est là l'acte de foi qui doit primer dans notre manière de vivre notre foi.
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17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 22:08
En cette semaine sainte où certains se questionnent sur le sens de la vie et de la mort, Le Journal de Québec du 17 mars publie un sondage intéressant sur les valeurs liées à la foi. On y consacre quatre pages de recherches et de commentaires des spécialistes. C'est assez percutant comme démarche. Le Journal publiera d'autres articles dans les prochains jours. Il y a matière grave à réflexion sérieuse!

On explique la méthodologie du sondage. "Ce sondage a été effectué auprès de 1004 Québécois âgés de 18 ans et plus entre le 28 février au 3 mars 2008. Les résultats ont été pondérés selon le sexe, l'âge, la région et la langue maternelle en se basant sur les plus récentes données de Statistique Canada. La marge d'erreur est de plus ou moins 3%, 19 fois sur 20. Parmi les répondants, 666 personnes se sont dit de religion catholique, 273 ne se réclamaient d'aucune religion et 64 se réclamaient d'une religion autre que le catholicisme."

Selon le sondage, depuis que les Québécois ont massivement délaissé la pratique de la religion: 51% des catholiques croient que la société québécoise a perdu une partie de son identité culturelle alors que 52% des autres religions se dit en accord et 67% des catholiques croient que la société québécoise a perdu une partie de son sens des valeurs morales, les autres religions, 55% en accord. 42% de répondants pour qui la religion est très importante dans leur vie quotidienne. On a répondu à des questions assez percutantes. 

En ce qui concerne la religion, vous considérez-vous comme quelqu'un de pratiquant ou de non pratiquant?
78% des répondants catholiques se disent non pratiquant pour 62% des autres religions.

À quelle fréquence assistez-vous à la messe (ou office religieux)?
Toutes les semaines, 6% chez les catholiques et 12% autres religions; au moins ure fois par mois, 3% de catholiques et 7% autres religions; quelques fois par année, 18% de catholiques et 13% autres religions; seulement pour les grandes cérémonies et fêtes, 49% de catholiques et 32% des autres religions; jamais, 22% de catholiques et 26% des autres religions.

Croyez-vous que Dieu existe? 78% des catholiques et 66% des autres religions ont répondu oui.

Croyez-vous qu'il existe quelque chose après la mort? 69% des catholiques et 48% des autres religions ont répondu oui.

Croyez-vous que Jésus a existé? 83% des catholiques et 77% des autres religions ont répondu oui.

Je termine la lecture des autres entrevus et je vous en fais un commentaire.
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13 mars 2008 4 13 /03 /mars /2008 02:00

Lire Daniel 3, 14...28 et Jean 8, 31-42.

J'aime beaucoup le livre de Daniel. C'est une relecture théologique l'expérience des Hébreux alors qu'ils étaient en exile à Babylone. C'est plein de symboles fort intéressants. D'abord, le roi Nabuchodonosor a définitivement la foi mais en son autorité de roi. Il choisit les instruments qui l'annoncent tels que le cor, la flûte, la cithare, la harpe, la lyre, la cornemuse et tous les autres instruments de musique. Tous ces instruments bien harmonisés doivent entraîner les gens à la danse. Sidrac, Misac et Abdénago ne dansent pas. Leur Dieu ne fait pas tant de tapage, ce sont plutôt les jeunes qui font la musique par leurs chants de louanges. Le roi a aussi érigé une statue en or comme symbole de son autorité. Mais les enfants ne se prosternent pas. La fournaise est l'enceinte des influences qui émanent de l'autorité du roi et le feu est l'image de la passion du roi. Ce dernier jette donc les enfants au coeur de sa passion pour influencer leur manière d'être. Ces derniers s'y sentent libres et le roi reconnaît la présence d'une quatrième personne qui ressemble à un être divin.

N'est-ce pas une image biblique des influences que nous subissons à partir des annonces publicitaires dont les auteurs semblent connaître nos besoins mieux que nous-mêmes? On y exerce une passion du luxe qui peut influencer notre passion de vivre. Sommes-nous conscients à quel point notre manière de penser est influencée par ces marchants d'illusions? L'autorité du roi Nabuchodonosor est aujourd'hui remplacée par l'autorité de la force monétaire issue de la mondialisation. On peut se laisser brûler par la tentation d'assouvir de faux besoins comme ceux qui succombent à de telles influences et se retrouvent inondés de dettes! J'en connais de ces gens et vous aussi. Par contre, on est capable de trouver sa joie de vivre ailleurs, à une autre source qui incite à la louange pour la vie et  non aux symboles monétaires qui la qualifient. Ceux qui nous regardent vivre au-delà de telles influences ont l'impression de voir une autre personne nous accompagner et nous libérer des liens avec lesquels l'on voudrait nous limiter dans nos ardeurs de vivre.

Dans l'Évangile, Jésus nous invite à nous identifier et à agir en enfants de Dieu. Et quiconque se dit enfant de Dieu reconnaît l'autorité amoureuse de Jésus. Il s'adresse à des Juifs qui maintenant croient en lui. Mais ces derniers ne veulent pas céder le pas à leur identité à Abraham et par qui ils se reconnaissent enfants de Dieu. Jésus est clair. Pour être enfant de Dieu, il faut reconnaître le Fils en Jésus. C'est un lien de parenté qui est plus fort qu'une fidélité à un engagement, comme celui d'Abraham. 

Le temps passe mais il ne change pas. Il oblige aux mêmes exigences. Sommes-nous des consommateurs invétérés qui avons besoin d'assouvir nos besoins ou des enfants de Dieu en quête de vie? Consommons ou vivons, mais il ne faut pas confondre l'un pour l'autre. Si nous sommes que des êtres de consommations, nous devons vénérer le petit écran qui, comme Nabuchodonosor, identifie nos besoins et influence notre manière de les combler. Mais si nous étions plus que de simples consommateurs, tels que des êtres en quête de vie?

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13 mars 2008 4 13 /03 /mars /2008 01:30
marilyne-20picture-20025-2-.JPGmarilyne-20picture-20027-1-.JPGUne amie m'a fait parvenir ces photos ci-dessus de la dernière tempête de neige. Celle du haut est prise de l'intérieure, près de la table de la cuisine où j'ai partagé tant de tasses de thé avec le couple et leur parents. Celle de droite est la porte d'entrée habituelle vue de l'extérieur. Y a-t-il de plus belles images pour exprimer la dépression nerveuse? C'est un sentiment d'emprisonnement inexprimable! Quand on dit qu'une image vaut milles mots! 

En cette fin de la période hivernale où le blanc de la neige plonge l'individu dépressif en des noirceurs intérieurs indescriptibles, je tiens à exprimer ma solidarité à ces personnes souffrantes anonymes. Anonymes parce que leur mal de vivre ne paraît pas. Les victimes n'ont pas de béquilles, de fauteuils roulants, une canne avec crampons à glace ou de cannes blanches. On peut leur dire de sortir et voir des gens. Qui déblayera l'entrée de leur souffrance afin qu'ils puissent en sortir de temps en temps?

Le préjugé sur les humeurs intérieurs est aussi fort que le racisme et le sexisme. En fait, il est probablement du même calibre et fait à partir d'une même substance. Une personne ne choisit pas ses humeurs, sa race ou son sexe. Il est ce qu'il est et son existence consiste à apprendre à vivre avec sa réalité. On peut lui dire de laisser les autres braire comme s'ils étaient à l'extérieur de sa réalité. Il n'en reste pas moins qu'ils ont une influence sur la porte qui permet de se sortir de tels états d'âme. Qui déblayera leur porte d'accès à la liberté de vivre? Probablement le même qui a roulé la pierre du tombeau qui enfermait le ressuscité.
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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 13:50
undefinedCeux qui se demandent pourquoi je semble négliger mon blogue sauront que je suis sur un autre projet d'écriture. Je suis à écrire mon autobiographie en vue d'une démarche thérapeutique et éventuellement une publication. C'est le meilleur moyen pour ressaisir les sentiments de nervosité qui nous habitent lors des grands changements. Les beaux événements comme le Congrès Eucharistique International fait en sorte que les chambres de passage pour un prêtre en transition sont rares. 

C'est dans cette relecture de sa vie que l'on retrouve des traces de la Providence. Dieu me garde des surprises en réserve à même l'expérience de pauvreté que je suis à vivre. En rétrospective, je constate que mes surprises agréables me viennent de ceux de qui je n'attendais rien, alors que les surprises désagréables me sont subvenues de ceux que je pensais en droit d'aider. La loi de Dieu ne change pas. C'est ce que l'on rejette qui devient la pierre angulaire sur laquelle se bâti l'avenir.
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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 00:30
image003-1-a.JPGUne personne à la santé fragile avait peur de la mort. Elle demande à son médecin croyant ce qu'il y a "de l'autre bord." Le médecin lui répond qu'il n'en sait rien. "Quoi? lui dit la patiente. Vous vous dites croyant et vous ne savez pas ce qu'il y a de l'autre bord!" Quelque chose s'est mis à gratter sur la porte qui conduit à la résidence privée du médecin. Celui-ci offre et son chien entre tout content de voir son maître. "Vous voyez mon chien? Il n'est jamais venu dans ce local. Il n'a jamais su ce qui s'y passe. La seule chose qu'il savait est que son maître y est. C'est la même chose avec l'autre bord. Je n'y suis jamais allé et je n'ai aucune idée de ce qui s'y passe. Mais je sais que mon Maître y est et qu'Il sera heureux de m'y accueillir comme je suis heureux de vous présenter mon chien. Et c'est tout ce qui compte pour moi. Je verrai à quoi ça ressemble et ce qui s'y passe quand j'y serai. Entre temps, je fais de mon mieux."
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19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 03:16
Un jeune demande à un sage de lui expliquer la foi. Le Sage lui dit: "Il y avait un funambule qui rêvait un jour pouvoir marcher sur un câble d'acier au-dessus des chutes Niagara à son point le plus dangereux. Il l'a un jour réussi. Est-ce la foi pour toi?" Le jeune lui a dit oui. Le Sage lui dit que non. En continuant il dit: "L'homme qui marche sur un câble raide au-dessus de la section la plus dangereuse des chutes Niagara, il tient une brouette et il s'assure que la roue de la brouette tourne tranquillement sur le câble jusqu'à l'autre rive. Est-ce cela la foi?" l'enfant lui a encore dit oui. Et le sage a ajouté: "Pas encore. Mais le sage qui marche sur le câble avec une brouette, il a un enfant assis dans la brouette, le dos tourné vers lui car il contemple l'étroitesse de la roue tourner sur la fragilité du câble. Est-ce cela la foi?" Le jeune lui répond encore oui. Le sage lui dit: "Oui mon jeune, cela est la foi si l'enfant dans la brouette, c'est toi!"

La vie est un passage étroit qui roule sur une existence fragile. On voudrait bien voir celui qui tient ma destinée dans ses mains comme une brouette. Mais si je me retourne, je risque de perdre l'équilibre et tomber dans le gouffre. Mais si je fais confiance, je traverserai la vie et un jour, je pourrai débarquer et contempler Celui qui m'a soutenu et le voir face à face.
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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 18:47
auroras-0008-1-.JPGIl neige à ne plus savoir quoi en faire. L'or blanc dépasse la valeur du marcher. Les voisins semblent disparaître des horizons ils sont ensevelis sous les amoncellements. On sait que la neige est de l'eau cristallisée, solidifiée en flocons aux multiples formes. _bug_fckElle offre un cadre féerique à un paysage déjà pittoresque de par sa beauté.

Elle accapare aussi les dé neigeuses qui la tassent pour qu'une vie humaine se continue et elle oblige l'automobiliste à des prudences accrues, les bancs de neige sont tels qu'il faut être dans la rue pour voir si une auto arrive!

L'eau est le symbole de la vie. Elle pénètre les sols, nourrissent les jardins et parfois inonde les sous-sols. Mais sous la forme de la neige, pouvons-nous parler d'une vie en attente de chaleur pour se réaliser par la fonte? Tombée en neige, elle semble plus embarrassante que vivifiante! Pourtant, telle est la vie en attente de vivre, comme un projet en attente de l'occasion de se créer. C'est la goutte d'eau enfermée dans le flocon de neige. Ce qui paraît semble plus gros que ce qu'il en résultera. Par exemple, un centimètre de neige ne donnera d'un millilitre d'eau. 

Il me semble à le sens de l'expérience de la transfiguration. Sous la rigidité humaine de la compréhension, une lumière venue du ciel fait fondre une dimension de l'homme dans un éclaire de Dieu. La neige qui a neigé se laissera devenir l'eau qui nourrit sous les rayons d'un Soleil devenu Dieu. L'absence de Dieu donne à l'homme en quête de chaleur que l'hiver ne se terminera jamais. L'espérance dans le désespoir donne l'assurance que ce qui gêne aujourd'hui, la neige, sera source de vie demain que l'eau baignera de ses éléments un nature assoiffée d'eau sans pluie.
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15 février 2008 5 15 /02 /février /2008 02:21
Je fais mienne cette prière de la reine Esther: "...viens me secourir car je suis seule, et je n'ai que toi. Seigneur, toi qui connais tout." Pour vivre une telle prière, il faut un acte d'abandon sur ce que l'on ne contrôle pas. J'aime l'expression anglaise "Let go and let God." C'est le lâcher prise issu de la foi.

Cela est un acte de foi en soi. En fait, c'est l'acte de foi de tout mourant aux portes de la mort. C'est savoir espérer l'abondance dans la sécheresse. La foi est une forme de pauvreté que l'on aime pas considérer tant elle est riche. Ce n'est pas se découdre de ses responsabilités. C'est se disposer à d'autres options afin de mieux assumer ses responsabilités. Entrer dans le dynamisme de Jésus, pénétrer sa bulbe pour ainsi dire c'est entrer en rapport avec son Père qui est aux Cieux. En fait, une telle prière est source de vie en soi. C'est se vider de soi pour se remplir en Dieu. Le fruit d'une telle prière, dans un tel rapport de confiance et d'amour, c'est accueillir une paix intérieure qui ne vient pas de ce monde. 
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